par Christian Travaux La chose n’est pas commune : traduire des poèmes d’un pays dont on ne connaît ni la langue, ni la culture. Des poèmes de la dynastie Tang, des VIIIe-IXe siècles, en Chine, sans jamais y être allé, sans même savoir le chinois. L’idée est folle, inconsciente, peut-être, ou naïve. Mais, en venant …