par Jean-Pierre Bobillot Oui, c’est la suite de Couacs, paru aux Vanneaux en 20141. Et c’est (oulipiennement dit) la même « contrainte monosyllabique » qui se voit exploitée, au fil de ces pages, telle que l’avait définie (et illustrée) cette résumante formule ternaire : « Tu n’as plus dans ton stock que les mots les plus courts et …