par Marie-Florence Ehret Bon j’avoue, je n’ai pas réussi à lire tout ce que Nathalie était, est, sera et serait, en quatre chapitres... Toutes ces phrases dont « Nathalie » est le sujet sont-elles réellement extraites de Google comme le prétend le quatrième de couverture ? Peut-être. Impossible cependant de m’intéresser à cette longue et fastidieuse énumération. …
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Albane Gellé / Samuel Buckman : À l’aveugle
par Marie-Florence Ehret Un petit cahier cousu à la machine à points réguliers, un petit cahier qu’il faut découper pour le lire – côté gauche – et regarder les dessins de Samuel – à droite. L’auteur a-t-elle la clé de ces petites pièces bien rythmées et heureuses, comme éclairées d’une lumière fraîche, malgré glissades …
Décharge
par Marie-Florence Ehret À découvrir ou à retrouver dans ce numéro 163 de la revue : Alain Guillard, François de Cornière, Sophie G. Lucas, Pierre Anselmet, Inger Christensen, James Sacré, Fabienne Roitel. Viennent s’ajouter une quinzaine de poèmes qui représentent le « choix de Décharge », et les différentes chroniques qui manifestent la formidable vitalité de la …
Hubert Haddad : Glossaire de la pluie suivi de Jonas dans son livre
par Marie-Florence Ehret Tirés à deux cents exemplaires les recueils de la collection « Poésie en voyage » ont le charme de leur format – 10 x 16 – de leur finesse et de la couture blanche qui tient reliées les quelques pages des poèmes. Ceux d’Hubert Haddad ont cette densité charnelle propre au poète qui en quelques …
André Velter : Le Tao du Torero / Tant de soleils dans le sang / Jusqu’au bout de la route
par Marie-Florence Ehret Le Tao du Torero De ce recueil, le sous-titre pourrait être De la tauromachie considérée comme un nouvel art martial nous dit André Velter, qui veut par ses poèmes inscrire cette tradition que d’aucuns considèrent comme barbare et archaïque dans un universel de l’homme. Fidèle à sa volonté solaire, il rend …
Sapho : Blanc
par Marie-Florence Ehret De quelle mémoire blanchie sont extraits les poèmes de Sapho ? De quel silence les cris ? De quel sud rêvé, de quelle passion sont-ils la cendre ? Abstraits ou bien gonflés d’images. Les paupières voiles enflées Barques de vos yeux Les signes jouent avec eux-mêmes, redondant le dit du vu. L’impossible blanc se …