par Étienne Faure À la faveur d’un format paysage – à l’italienne –, de très incisifs dessins d’Ann Loubert viennent ponctuer le cheminement du dernier recueil de François Bordes, Cosa. Un cheminement introduit par une lecture d’Emmanuelle Guattari, puis par une forme de préambule, d’entrée en souvenance et en matière « dans les décombres de …
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François Bordes : Le logis des passants de peu de biens précédé de L’âge obscur
par Alain Helissen Ce sont là, pour commencer, quelques poèmes extirpés d’un « âge obscur », daté de 1993-1998, que délivre – faut-il rajouter enfin ? – François Bordes dans la première partie du recueil. Des poèmes, précise-t-il « en guise de salut », écrits dans une ville sombre et sans rivière. En conséquence de quoi « La langue s’assécha. …