par Hervé Laurent Indicateur quantitatif puis privatif, le son [sã] sonne ici à trois reprises (crescendo : une puis deux) pour annoncer la répétition du substantif « titre ». Un titre en rafale donc, qui dit le souci du titre, précisément, et peut-être le désir de flinguer. Fabienne Radi, au bénéfice d’une bourse d’écriture du Fonds cantonal …